La méga-mobilisation contre les méga-bassines approche !
Le printemps maraîchin arrive ! C’est maintenant qu’il faut agir pour la préservation et le partage de l’eau.Face au dérèglement climatique, face à l’effondrement de la biodiversité, face à l’industrialisation de notre agriculture, réagissons et rejoignons-nous pour un week-end revendicatif et festif à La Rochénard dans les Deux-Sèvres.
Paysan.nes, habitant.es, syndicalistes, naturalistes, militant.es du climat : ensemble nous stopperons les projets d’accaparement de l’eau par l’agro-industrie.
RDV du 25 au 27 mars à la Rochénard (79) ! Au programme : Un week-end de manifestations populaires notamment le samedi, accompagnées de gestes de désobéissance civile, mais aussi d’échanges autour de nos usages de l’eau et nos pratiques paysannes… et un week-end pour créer, danser et danser encore, contre les « méga-bassines », l’agro-industrie et son monde ! Le détail du programme et l’appel à retrouver ici et ci-après
Vous êtes invité.e.s à ressortir vos plus beaux parapluies, à enfiler à nouveau vos plus beaux bleus de travail, à prendre jeunes arbres à repiquer, outils, etc. A l’appel de Bassines non merci, la Confédération paysanne, Les soulèvements de la terre, avec le soutien du collectif Plus Jamais ça (Attac France, Greenpeace France, Alternatiba, Info’Com-CGT, Union Syndicale Solidaires, Les Amis de la Terre France, …) et de tant d’autres (LPO France, Extinction Rebellion France, Youth for Climate France, Terres de luttes, Notre Affaire à Tous, …) : nous serons là pour enfoncer le clou et mettre un coup d’arrêt aux projets d’accaparement de l’eau par l’agro-industrie. No Bassaran !
——-
# Vendredi – La Rochénard 20h – Repas assurés par la coordination des Réseaux de Ravitaillement des Luttes 21h – Bal/concert d’accueil avec Las Gabachas de la Cumbia (cumbia féminine) et Les Tabanards (satires et bal de 12)
# Samedi – La Rochénard 9h – Randonnées pédagogiques et visites insolites du château d’eau – Musique avec La Fausse Cie – pochoir et sérigraphie /// A partir de 12h – Lieu à préciser – Prises de paroles – pique-nique tiré du sac – restauration et buvette complémentaires /// Repas puis manif en musique et spectacles avec la fanfare sociale, Basstong (electrotongue), les poulets crus (satire policière), L’Essoreuse (danse buto) /// 14h – Départ de la MANIFESTATION – Ramenez vos bleus de travail, petits arbres à repiquer, outils de plantation et instruments de musique ! /// 19h – banquet paysan – cantines solidaires – stand – sérigraphies – jeux en bois – Sur le champ – La Bulkrack (fanfare) Minimum Fanfare (itou) Scène 1 – Concerts avec Sidi wacho (hip-hop-electro-cumbia) – Cigany mowhak (balkanik fiesta punk) – D-Frak (duo électrico-poéique de la famille Walili) – Hero Echo (rap féministe) – Cordes sensibles (rock fusion) Scènes 2 – Mixs avec le Souk system’ (électro – trap – décalé – polyrythmies…)
# Dimanche – La Rochénard A partir de 10h et au long de la journée : Randonnées pédagogiques – Marché paysan – – stands – jeux en bois – sérigraphie – visites insolites du château d’eau – graff – spectacles avec l’agit théâtre (11h « nous étions debout et nous le savions pas »), la Fausse compagnie..Poésie avec Eniah oésie, etc.. 9h – Assemblée des rivières : vers la constitution et la coordination de comités de défense de l’eau ? (avec des interventions – à confirmer – de collectifs de Vittel, de la Clusaz, des Gammares, de Loire Vienne Zéro Nucléaire, des Soulèvements de la mer, de la Coordination Eau Île de France, …) Construire EAUtrement ! 14h – Assemblée Habiter et cultiver les bassins versants : comment porter de nouveaux modèles agricoles et de partage de l’eau ? (avec l’intervention de collectifs et de syndicats paysans, d’habitants.es du Marais poitevin et d’ailleurs, de naturalistes et scientifiques, …) Camping sur place dès le vendredi soir
Dates, horaires et lieu : samedi 16 avril 2022 de 10h à 12h
Intervenant : Jean-François Périgné, paysan de la mer
Paysan·ne de la mer… Si le terme de paysan·ne est souvent rattaché au travail de la terre, l’activité des paysan·nes de la mer est moins connue. Pourtant, elle constitue un pan entier de l’agriculture. De riches métiers à découvrir.
Objectifs de la formation :
Découvrir les différents aspects du métier en mer
Découvrir la spécificité de la filière mer, qui fait qu’on la retrouve à la Conf’ (ce qui n’est pas le cas de la filière bois par exemple)
Avoir une vision globale du circuit des produits, de la mer à l’assiette
Identifier des leviers pour promouvoir l’agriculture paysanne maritime et la faire entrer dans le circuit des AMAP
Retour sur l’assemblée générale des Ami.e.s de la Conf’
Le week-end du 27 novembre 2021, s’est déroulée l’assemblée générale de notre association à Bagnolet. Un plaisir de pouvoir enfin se retrouver ensemble pour discuter de l’année écoulée et prévoir celle à venir.
L’occasion aussi de partir à la rencontre des associations locales qui entourent Bagnolet. Nous sommes allés vendredi à la rencontre de l’association Le sens de l’humus. Ils entretiennent et font vivre une parcelle des Murs à pêches de Montreuil pour sensibiliser les habitant.e.s du quartier et des personnes précarisées, au jardinage et au recyclage, dans un esprit d’inclusion et d’hospitalité.
Les Murs à pêches, qu’est-ce que c’est ?
La trace d’une agriculture réfléchie, les murs servent à emmagasiner la chaleur pour permettre aux fruits de mûrir. Cette façon de produire, très technique, a été permise grâce à un débouché de prestige, celui du roi Louis XIV.
La fin de journée s’est déroulée sur le marché paysan qui se tient chaque vendredi à la Société régionale d’horticulture, plus communément appelée Jardin-école de Montreuil. Là aussi, le patrimoine, la transmission et l’insertion dans le tissu local sont au cœur de leur activité. Nous y avons retrouvé des paysans confédérés, a qui nous avons acheté de quoi faire un apéritif dînatoire et la soupe du dimanche midi.
Le samedi matin était réservé à la validation formelle des rapports financiers et d’activités 2020 (eh oui ! Les restrictions ne nous avaient pas permis de nous retrouver plus tôt !). L’article 8 des statuts a notamment été modifié, pour permettre le vote par correspondance et/ou à distance en cas de nécessité. Et nous souhaitons la bienvenue aux nouveaux.elles administrateurs.trices : Mathieu, Georges, et Christiane, un grand merci pour leur investissement.
Les référents des différents groupes locaux ont pu s’exprimer, exposer leurs projets et leurs difficultés. À ce jour une petite vingtaine de groupes existent ou se forment peu à peu.
Le repas nous a généreusement et délicieusement été servi par Les Monts de l’Utopie, une équipe qui vient régulièrement régaler les paysan.ne.s du Comité national de la Conf’ et qui est basée dans les Vosges d’où vient Thierry Jacquot, paysan du secrétariat national de la Conf’ qui fait le lien avec les Ami.e.s.
L’après-midi a été riche de partages d’expériences, nous avions la chance d’avoir avec nous :
Bénédicte Bonzi, anthropologue spécialisée dans l’aide alimentaire et dans les violences alimentaires.
Mireille Alphonse, adjointe au Maire, déléguée à la Transition, à la démocratie alimentaire et en charge de la Cantine publique à Montreuil.
Aurélien Denaes, cofondateur de tiers-lieux à Malakoff (92), Conseiller municipal délégué à l’alimentation, la restauration collective et aux circuits courts de la Ville de Malakoff.
Henry-George Madelaine, responsable de l’essaimage, du Champ Commun, société coopérative d’intérêt collectif / tiers-lieu à Augan (56)
Des témoignages éclairants, motivants, et inspirants pour aborder les thèmes de la démocratie alimentaire et de la souveraineté alimentaire. Ils se sont suivis d’échanges sur les leviers d’actions pour mettre en marche la démocratie alimentaire au sein des Ami.e.s de la Conf’.
Après la table ronde, des ateliers ont suivi, qui ont permis à chacun de s’exprimer, de comprendre les leviers d’actions possibles et ceux encore à imaginer !
Où et comment faire advenir la démocratie alimentaire pour que l’on puisse vraiment décider de notre alimentation ?
Dans le cadre de notre campagne « Décidons de notre alimentation ! », nous souhaitons que les citoyens puissent avoir voix au chapitre en matière d’agriculture et d’alimentation dont nous devrions débattre de manière publique et démocratique.
Pour échanger sur le sujet, nous invitons autour de la table :
Bénédicte Bonzi, anthropologue spécialisée sur l’aide alimentaire et les violences alimentaires (post-doc à l’EHESS).
Mireille Alphonse, adjointe au Maire de Montreuil, déléguée à la Transition, à la démocratie alimentaire et en charge de la Cantine publique
Aurélien Denaes, co-initiateur de tiers-lieux à Malakoff (92), membre du Conseil National des Tiers-lieux, conseiller municipal délégué à l’alimentation, la restauration collective et aux circuits courts de Malakoff
Henry George Madelaine, co-gérant du Champ Commun, société coopérative d’intérêt collectif / tiers-lieu nourricier à Augan (56)
Thierry Jacquot, du secrétariat national de la Conf’, se dit citoyen avec fonction de « paysan », un métier d’utilité publique, altermondialiste, et écoute les échanges.
Des questions et des constats vertigineux sont posés. Comment lutter contre la précarité alimentaire qui touche près de 10 millions de personnes en France ? Que faire contre la violence de notre système ? Comment se parler entre classes sociales et culturelles éloignées ?
Les échanges avec les intervenants nous apportent des éclairages et des idées pour continuer à œuvrer pour plus de démocratie dans l’alimentation.
Pour mieux comprendre, il faut relier sécurité, souveraineté et démocratie
Je vois ces notions comme en escalier, chacune représentant un palier. Quand on n’est pas en situation de sécurité alimentaire, on n’arrive pas à penser à ceux qui produisent. On a donc d’abord besoin de sécurité. Quand on arrive à faire la différence entre une pomme et une autre pomme, qu’on arrive à s’approprier les différentes dimensions, qu’on sait qui fait quoi, on peut atteindre l’autre palier, la souveraineté alimentaire. Quand on ne se contente plus de penser mais qu’on veut développer des parallèles et agir, c’est le dernier palier, la démocratie. (Bénédicte)
L’alimentation est vitale et essentielle pour le vivre-ensemble.
C’est une formidable clé pour renouer avec la démocratie. L’accès à l’alimentation, c’est le premier sujet politique qui existe, c’est le premier qui nous rassemble car on est tous humains, on a tous besoin de manger. Le commun essentiel de manger ensemble, cet acte-là c’est la base de la politique. C’est le levier qui va nous permettre de redonner envie de faire de la politique ensemble, les gens comprennent bien qu’il y a là quelque chose d’essentiel. (Mireille)
Des lieux pour faire vivre la démocratie
Le tiers lieu, c’est un échelon manquant dans notre société. Il y a les associations mais il faut aussi des espaces de rassemblement et de (re)politisation, des lieux pour organiser la révolution. La démarche est « fonctionnelle » : on rentre dans un tiers-lieu par l’envie de manger, de travailler, de rencontres, on discute, on vit un échange émotionnel, on fait la fête, on vit des choses fortes ensemble. Les gens attaquent les sujets alimentaires par le « fonctionnel » (besoin de manger) et pas d’abord par le politique. » (Aurélien)
« La démocratie alimentaire, c’est répondre à des besoins qui ne sont pas que physiologiques et culinaires mais aussi sociaux. Notre lieu « Le Champ commun » est une réponse à des manques en milieu rural. Ce n’est pas qu’une épicerie, c’est un lieu de convivialité, au centre du bourg, » (Henry-George)
« Les marchés paysans sur la place Jean Jaurès, à Montreuil, ça a fait beaucoup pour la prise de conscience sur ces sujets. » (Mireille)
Pour des réseaux entre communes
– un réseau d’élus municipaux délégués à l’alimentation
Il y a de plus en plus d’élus délégués à l’alimentation en mairie. C’est un signal politique conséquent. Il faut qu’on travaille ensemble, pourquoi pas à travers un réseau. (Aurélien et Mireille)
– repenser les liens entre territoires
Les élus doivent se lier avec d’autres territoires, d’abord par le biais de la restauration collective, l’organisation de la filière, la coopération entre paysans…(Aurélien)
On ne peut pas faire de l’hyperlocal, même à la campagne, il faut se parler entre territoires. (Aurore)
Faire des jumelages avec des territoires ruraux, on va pouvoir construire des choses intéressantes en termes de solidarité entre les rats des villes et les rats des champs. Il faut aussi travailler avec les chercheurs et des spécialités différentes. (Mireille)
La SSA comme ligne d’horizon
La SSA, au début je n’y comprenais rien. Aujourd’hui ça me fait du bien parce que c’est une ligne d’horizon qui se dégage devant moi, un moyen de tout décomposer d’une part, et d’autre part, de remettre les morceaux du puzzle à une place juste pour ne pas reproduire ce système qui détruit des personnes et qui est insupportable. Il y a des choses à combattre, mais face à nous on a des moyens et des savoirs faire incroyables pour produire autre chose. (Bénédicte)
S’indigner, s’engager, expérimenter, essaimer, à toutes les échelles. Ne pas attendre que cela arrive d’en haut mais faire.
« Cette indignation au nom d’une justice est viscérale. Aux Restos du cœur, j’ai appris la volonté, et l’engagement viscéral des bénévoles. Il y a des résistances qui tiennent depuis longtemps. » Bénédicte
« Il se veut modeste par principe comme un grain de sable bien solide dans les engrenages du capitalisme et de la croissance toujours plus forte. Accompagner des porteurs de projets locaux mais à condition qu’ils s’associent avec les citoyens pour la vitalité même du projet et sa pérennité. C’est un projet populaire. Horizon d’auto-gestion, participation citoyenne ou dans le partage de son expérience dans l’essaimage, une demande de sens d’abord.» Henry-George
« On peut dépasser les fatalismes qui bloquent les personnes dans leurs habitudes quand il n’y a pas de plaisir. L’idée c’est de faire ses courses, boire un coup, et écouter un concert, ne pas être que des consommateurs. Ces actions locales agissent au national ! Prendre un compte que nos actions modestes, elles agissent sur le global, et il y a de plus en plus de personnes conscientes, et demandeuses de faire bouger les choses. Longue vie à nos organisations, qu’elles se développent afin de nourrir les consciences, faire un modèle équitable et solidaire pour tous les peuples.» Thierry
Restauration scolaire ? Être dans les instances ?
DÉMOCRATIE ALIMENTAIRE
Conceptualisée pour la première fois en 1998 par Tim Lang, la démocratie alimentaire désigne une volonté et une revendication des citoyen.ne.s à reprendre le pouvoir sur la façon d’accéder à leur alimentation, en lien avec le modèle agricole qui la produit. Dominique Paturel, chercheuse à l’INRAE autour de l’aide alimentaire, y ajoute la notion de « justice sociale – à travers l’accès, la participation et le pouvoir d’agir – et celle de citoyenneté, et ce pour l’ensemble des acteurs du système alimentaire (producteurs, transformateurs, distributeurs, consommateurs). Voir définitions dans les deux ouvrages récents Le droit à l’alimentation durable en démocratie de 2020 et Nourrir : quand la démocratie alimentaire passe à table de 2021.
Nous sommes ainsi intéressés par les mécanismes et dynamiques qui visent à ce que les citoyens puissent avoir voix au chapitre sur ces enjeux dont nous devrions débattre de manière publique et démocratique.
Nous connaissons des initiatives qui sont portées par la société civile comme les AMAPS, d’autres qui se sont institutionnalisées comme les PAT (projets alimentaires territoriaux), d’autres encore qui semblent être dans un processus d’institutionnalisation comme la dynamique actuelle pour une mise en réseau de tiers-lieux, notamment de tiers-lieux nourriciers suite à une recherche-action en 2019-2020 sur ces lieux (cycle de webinaires actuellement). Des collectifs dont les Ami.e.s de la Conf’ sont membres se sont créés pour agir sur les politiques publiques phares ayant un impact sur l’alimentation comme
« Pour une autre PAC » qui souhaite un changement de modèle et revendique une place plus importante des citoyens dans les décisions
ou bien le « Collectif pour une sécurité sociale de l’alimentation » qui cherche un outil pour rendre effectif le droit à l’alimentation via un système inspiré de la sécurité sociale de santé.
On peut également penser aux collectifs autour de la restauration scolaire qui existent très localement et qui ont influencé des décisions à l’échelon municipal, ainsi que les mesures de la loi EGalim pour la restauration scolaire.
L’idée vous a peut-être un jour traversé l’esprit… Mais pas facile de se projeter paysan.ne sans être issu.e du métier, sans accès à la terre et sans certitude de s’épanouir dans cette activité. Il faut parfois pouvoir se tester. C’est ce que propose le réseau RENETA, Réseau National des Espaces Tests Agricoles, pour aider les porteurs et porteuses de projet qui souhaiteraient devenir paysan·n·e.
Objectifs de la formation :
– Identifier les freins et les leviers pour devenir paysan·n·e
– Avoir une vision globale du parcours à l’installation
– Découvrir le RENETA et l’accompagnement proposé par les espaces test-agricoles
Près de 8 millions de personnes dépendent aujourd’hui, en 2021, de l’aide alimentaire en France. Initialement présentée comme un mécanisme permettant de pallier aux situations d’urgence, elle s’est aujourd’hui institutionnalisée et peut être source de grandes violences, pour les bénéficiaires comme pour les bénévoles. Certains travaux récents préconisent ainsi de la dépasser, en développant des formes d’accès durable à l’alimentation et en faisant valoir le droit international à l’alimentation.
L’objectif : garantir à toutes et tous l’accès à une alimentation choisie, tout en assurant des conditions de travail et de vie décentes à l’ensemble des acteurs du système de l’alimentation – production, transformation, distribution, consommation – . Quel rôle de nos organisations, lesquelles sont des acteurs de la transition agricole et alimentaire, pour faire appliquer le droit à l’alimentation, et mettre en place une sécurité sociale de l’alimentation ?
Objectifs de la formation :
mieux saisir les enjeux que recouvre l’aide alimentaire
avoir un aperçu des différentes pistes proposées pour en sortir, et assurer une alimentation choisie à toutes et tous
Agriculture paysanne : quelle image projette-t-on en entendant ces mots ?
Si le métier de paysan est multiple, il existe également une pluralité d’agricultures : éleveur, maraîcher, céréalier, paysan de la mer… Lors de ce temps partagé, ils et elles seront là pour vous parler de leur métier et en montrer toute la richesse et la diversité.
Objectifs de la formation
Identifier les différentes formes d’agriculture
Avoir une vision globale de l’ensemble des métiers de l’agriculture
En soutien à la Via Campesina et en coordination avec France Amérique Latine, la Confédération paysanne, les Amis du Mouvement des Sans Terre, Amar Brésil, Terre de Liens, le MRJC et le FIAN International, les Ami.es de la Conf’ participent au lancement de la Caravane des droits paysans, qui débutera sa tournée en France le 8 juillet !
Objectifs : promouvoir la reconnaissance des droits des paysans et inciter la France à signer la déclaration adoptée par de nombreux pays en décembre 2018, pour laquelle cette dernière s’est abstenue.
ANNULATION : En raison des dernières mesures gouvernementales et de la mise en place du pass sanitaire, la Conf’ paysanne de Dordogne et Les Ami.es de la Conf’ ont le grand regret de devoir annuler les Journées initialement prévues du 26 au 29 août 2021. En effet, la Conf’ de Dordogne et les Ami.e.s ne souhaitent pas effectuer le contrôle des pass sanitaires imposé par la nouvelle loi.
Toutefois, des visites de fermes et d’échanges avec les paysans de la Conf’ seront possibles pour les personnes maintenant leur séjour en Dordogne. Hervé Cadart, paysan de la Conf’ Dordogne à Saint Martial de Valette où devait avoir lieu notre rencontre, propose à ceux qui le souhaiteraient de venir quand même camper dans son pré. Des échanges avec des paysans de la Conf’ pourraient alors être organisés. Si vous êtes intéressé.es, merci de nous le faire savoir par retour de mail, pour que nous puissions vous mettre en lien avec les contacts locaux.
AG des Ami.es de la Conf’ 2021
L’AG des Ami.es de la Conf’ est reportée au mois de novembre ou décembre 2021 au siège de la Confédération paysanne à Bagnolet (93). Des précisions à ce sujet vous parviendront prochainement.
Quant aux Journées d’été et Fête paysanne, ce n’est que partie remise et nous espérons qu’elles puissent enfin se tenir en bonne et due forme l’été prochain !
Merci de votre compréhension et à bientôt
_______________________________________
Cette année, Les Ami.e.s de la Conf’ et la Confédération paysanne de Dordogne s’unissent pour vous proposer un seul et bel évènement,du 26 au 29 août 2021. L’occasion de réunir Journées d’été, Assemblée générale des Ami.e.s de la Conf’ et Fête paysanne de la Conf’ Dordogne, dans le Nord de la Dordogne.
Nous vous proposons de nous y retrouver pour partager un riche programme, autour de la souveraineté alimentaire et des droits des paysans, concocté par le Conseil d’administration des Ami.e.s et l’équipe organisatrice de ces journées. L’occasion aussi de faire de belles rencontres !
Plus de précisions seront disponibles prochainement, mais vous pouvez déjà réserver votre week-end !